Radio Oreole Flash Info :
latest

728x90

468x60

17 avril 2024

Togo/Campagne électorale : Grande mobilisation autour de Yawanké Waké Gbati d'Unir dans plusieurs quartiers de la Commune Bassar 1


La mobilisation pour le 29 avril prochain et la campagne électorale de proximité se poursuit  dans la commune Bassar 1. Le candidat  Yawanké Waké Gbati,  tête de liste Unir à  pour les législatives ne ménage aucun effort pour conquérir le maximum de voix en faveur de son parti. Il était dans plusieurs  quartiers de Bassar ce mardi 16 avril pour convaincre les populations à voter Unir.


Le message est clair à  toutes les sorties.  «  Le chef de l’Etat son Excellence Faure Esssozimna Gnassingbé sait compter sur  la jeunesse de Bassar. Notre soutien ne l’a jamais fait défaut et il espère que nous allons  le démontrer le 29 avril prochain », a déclaré le candidat Yawanké Waké Gbati.

La tête de liste dans la localité de Bassar a martelé qu’aujourd’hui, le Togo est très envié; « c’est grâce à cette politique de paix et de stabilité  sous le leadership  du chef de l’Etat, président de notre grand parti UNIR, son Excellence Faure Essozimna Gnassingbé », a-t-il souligné.

L'occasion s'est prêtée pour  profiter offrir une démonstration de vote et comment voter UNIR sur le bulletin.

Un appel est lancé dans cette optique aux   jeunes à  se mobiliser pour voter massivement  les listes UNIR pour les députés et pour les conseillers régionaux.

Les différents porte-paroles du milieu ont dans leur adresse salué la politique de paix et de développement du président de la république et ont promis que Bassar  votera cent pour cent UNIR.

Partout où il est passé, Yawanké Waké Gbati et sa suite ont prôné le vivre ensemble, le pardon mutuel, les valeurs que prône   le président du parti et qui sont un gage d’un développement harmonieux.

La mobilisation va se poursuivre dans les  jours à venir à travers  un  programme de  sensibilisation sur comment voter sur le bulletin.

Togo : Thomas Dietrich arrêté pour activités subversives

 


L'affaire Thomas Dietrich  fait  couler d'encre et de salive au sein de l'opinion nationale et internationale concernant l'actualité au Togo. Si la presse locale porte un regard critique sur le sujet c'est justement parce que le sieur qui vient d'être condamné a 6 mois avec sursis et   expulsé du pays, n’est pas à sa première tentative. 


Officiellement présent à Conakry pour des « enquêtes », Dietrich avait été arrêté dimanche 14 janvier 2024 dans un hôtel de Kipé, en banlieue de Conakry, alors qu'il "menait des activités subversives, de tentative de déstabilisation du régime du Colonel Mamadi Doumbouya", selon plusieurs sources.

 

Des indiscrétions du côté de la Guinée, le  journaliste n’était pas à ses premiers ennuis avec les régimes guinéens. Thomas Dietrich aurait  tenté par des chantages sous Alpha Condé, sans succès. Ce qui lui a valu en mars  2020 une interpellation et une expulsion  vers la France.


Pour qui travaille-t-il ?

A cette interrogation, des enquêtes émanant des services de renseignement togolais révèlent que ledit journaliste est à la solde d’un réseau mafieux en Europe et en Asie. Thomas Dietrich n'est nul part que dans son rôle de diffamateur et de destructeur des pays dans le collimateur de la France.  Le Togo faisait partie de son plan de basses besognes. 

En effet il ressort  des faits d'espèce que le journaliste  avait tenté d’entrée au Togo dans la nuit de samedi à dimanche comme simple touriste, aux environs de 1 heures 30 du matin. Il fut détecté et refoulé par les services d’immigration du Togo, en provenance du Bénin où ils ont une base composée de journalistes français, africains, béninois et togolais et aussi d’acteurs de la société civile.

 

Faut-il évoquer une mission commandée?

Selon les recoupements, si Thomas Dietrich était entré illégalement à Lomé par la brousse et hébergé dans un espace culturel togolais, c'est qu'il aurait nécessairement une orientation "nuisible" qu'il essayait de protéger.

Malheureusement il fut identifié par les  des services togolais de renseignement et pris en flagrant délit d’activités subversives.

Selon les informations, il est actuellement dans les mains des services de renseignement. L'Ambassade  de France au Togo, de son côté multiplie des actions pour sa remise en liberté et son extradition vers la France.