Radio Oreole Flash Info :
latest

728x90

468x60

Affichage des articles dont le libellé est ENTREPRENEURIAT. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est ENTREPRENEURIAT. Afficher tous les articles

18 octobre 2021

Consommation locale : le Togo dispose désormais « d’un répertoire des producteurs, transformateurs et exportateurs »

 


Le Togo dispose désormais « d’un répertoire des producteurs, transformateurs et exportateurs ». Il a été élaboré par le Ministère du commerce, de l'industrie et de la consommation locale.

 

Ce document qui regroupe les adresses complètes des producteurs, transformateurs et exportateurs locaux, est édité dans le cadre de la promotion de la consommation au Togo. Il concerne plusieurs chaines de valeurs.

 

La première édition, celle 2021-2022 est déjà disponible. Le répertoire sera mis régulièrement mis à jour pour intégrer d’autres structures naissantes.


Depuis vendredi dernier, le Togo a lancé la deuxième édition du "mois de consommer local".

17 octobre 2021

Togo : 2ème Edition du « Mois du consommer local », une touche particulière à découvrir

 


Le mois d’octobre depuis l’année 2020 est décrété mois du consommer local dans la zone UEMOA. L’initiative suscite davantage une attention particulière au sein de la population. Lancé ce vendredi 15 septembre à Lomé, en présence de plusieurs autorités ministérielles et institutionnelles, autour thème : « Promouvoir le consommer local : une contribution à la mise en œuvre réussie de la ZLECAf », la 2ème Edition du mois du « consommer local » marque déjà des points tels que l’intégration réelle dans les rayons des supermarchés de la place des produits Made in Togo et le logo officiel du consommer local.

 

L’évènement a connu aussi la participation massive des acteurs concerné par la chaine de valeurs en exergue au Togo.

 

L’objectif visé est de tirer la croissance de l’économie par la consommation des biens et services obtenus localement et la contextualisation de la célébration de cette 2ème édition au Togo est : « Compétitivité des produits et services locaux sur le marché de la ZLECAf, une véritable opportunité ».

 

L’un des sujets les plus abordés au Togo ces derniers temps, est la problématique de la balance commerciale où les importations sont largement supérieures aux exportations. Plus encore la consommation intérieure est désintéressée face aux efforts d’innovation des entrepreneurs locaux. Alors que la promotion du secteur privé est déjà inscrite dans le Plan National de Développement qui conditionne aujourd’hui la feuille de route du Gouvernement togolais, comme levier de la croissance économique, la consommation locale devient une préoccupation nationale. 

 


« Nous nous réjouissons de ce que les résultats de la célébration de la 1ere édition montrent une augmentation du chiffre d’affaires de 80 % des acteurs évalués à travers la présence sur des produits locaux dans les rayons des supermarchés avec une politique incitative de notre département. Le Gouvernement pour sa part s’engage sous la forte coordination de madame le Premier Ministre à poursuivre ses ambitieuses reformes pour la stabilisation du cadre macroéconomique, l’amélioration continue du climat des affaires comme en témoigne les diverses mesures entreprises en ce sens», martèle le Ministre du commerce, de l’industrie et de la consommation locale, Kodjo Adedze à la cérémonie d’ouverture.

Et d’ajouter « Nous appelons au patriotisme de tous à intégrer dans nos comportements quotidiens la culture de la consommation locale ».

 

Occasion également pour les participants de découvrir le logo qui symbolisera officiellement le concept du Consommer local au Togo, celui dont la créativité de l’œuvre a le plus convaincu le jury suite au concours lancé en amont. Il est parti avec une enveloppe de 700 0000 francs CFA.

 


Pour la Président DIOP, « le consommer local, plus qu’un concept, c’est un mode de vie qu’il faudra adopter afin de créer les conditions favorables à l’initiative privée et l’accroissement de l’entrepreneuriat des jeunes qui sont de véritables leviers de créations de richesses et de lutte contre le chômage. »


Jacques LEMOU

13 octobre 2021

Togo : Les grandes réalisations du projet "FODA"

 


La Formation en développement d’affaires (Foda) est une initiative prise par le Togo pour aider les jeunes à créer et développer leurs affaires. 


La Foda est conçue pour les porteurs de projets avec un niveau d’études inférieur ou égal au CEPD ; les jeunes porteurs de projets avec un niveau d’études compris entre la 6ème et le Bac ; les jeunes porteurs de projets avec un niveau universitaire, du Bac au Bac +5 ; les entrepreneurs qui souhaitent pérenniser leur activité. Les formations éveillent l’esprit entrepreneurial chez les jeunes.


 Le projet propose plus de cent (100) exercices pour s’approprier les connaissances indispensables à la création et la gestion d’entreprise. Les Foda contribuent à la mise en œuvre des politiques nationales traduites dans les axes de la feuille de route gouvernementale 2020-2025.


Grâce au Programme de développement communautaire en zones urbaines (PDC-Zu) dans la région des Savanes, cinq (05) plans d’actions de quartier ont été élaborés, avec cent vingt-huit (128) Volontaires d’engagement citoyen (Vec) accompagnés et initiés par la Formation en développement d’affaires. Depuis 2020, plus de cent quinze (115) facilitateurs Foda ont été enregistrés. Déjà, près de cent (100) facilitateurs ont formé des jeunes dans les cinq (05) régions du pays, dans le cadre du projet d’opportunités d’Emploi pour les jeunes vulnérables (EJV) ; vingt-quatre (24) formateurs ont formé ces facilitateurs Foda pour mieux impacter les populations ciblées.

16 septembre 2021

Togo : La société PARKS SARL lance son projet multifonctionnel automatisé « SD AUTO PARC », une solution aux vols, dépannage d'engins et autres...

 


En Afrique et plus particulièrement au Togo, la route reste le mode de transport par excellent avec près de 90% de trafics interurbains. Ce fait engendre des problèmes de sécurisation des engins (voitures et motos) et des transactions y afférents, de mutations et reversement de plaques, des difficultés d’accès aux pièces détachées, l’insécurité routière… Face à ces inquiétudes, la solution est toute trouvée. Il s’agit de « SD AUTO PARC », une idée géniale, sure et à moindre coût mise en place par la société PARKS SARL

 

« SD AUTO PARC » est une plateforme de gestion automatisée, intégrant une banque de données de tous les engins immatriculés circulant sur le territoire national. Elle constitue un centre d’informations sécurisées sur l’état des engins. Pour cette phase pilote, le programme offre une dizaine de services accessible pour la population togolaise.

 

Les services disponibles

 

Le client qui souscrit à « SD AUTO PARC », bénéficie de tous les services disponibles avec leurs énormes avantages.

-      Alerte vol engin

-      Alerte accident et assistance

-      Sortie de circulation 

-      Cession 

-      Rappel

-      Parking

-      Prévention routière

-      Verbalisation

-      Pièces détachées

 

Comment « SD AUTO PARC » fonctionne ?

 

Pour souscrire, il suffit de prendre attache avec  les points de transfert monétaires agrées retenus ou se rendre à la direction de la société PARKS-Sarl sise à Hédzranawoé 166HDN Rue Bonsafo derrière Piscine Atlantide. Le client enregistre les informations identitaires de son engin (les numéros d’immatriculation et de châssis, la marque…), voiture ou moto. Tout est scanné par la suite et intégré à la base de données, et un code est attribué une fois l’enregistrement fini.

 

Pour toute opération demandée, ces informations seront utiles. Ainsi, par une simple requête par téléphone GSM, toute personne a la possibilité de vérifier le statut (scellé, disponible à la vente ou non…) d’un engin immatriculé circulant au Togo.

 Autre choses intéressantes, un SMS et des capsules de vidéo seront régulièrement envoyés aux abonnés pour les informer, rappeler sur la situation de leur engin, et quoi faire en cas de : par exemple la date d'expiration de la visite technique, de l’assurance, TVM, l'état d'une route, le port de la ceinture de sécurité ou du casque...

Comme exemple de consultation, on peut faire usage des trois syntaxes suivant  pour connaître  le statut de l’engin (scellé, disponible à la vente ou non…).

1*4*1*numéro immatriculation*

1*4*2*numéro châssis*

1*4*3*numéro moteur*.




« Le but du projet est de faire bénéficier aux propriétaires d’engins des services SD AUTO PARC d’une part, et de permettre à la sécurité d’avoir en temps réel des informations pour retrouver l’engin en cas de vol ou de vite retrouver les vrais auteurs en cas d’infractions d’autre part. Il permet également de constituer un vrai historique de l’engin depuis son immatriculation, sa mise en circulation et sa sortie de circulation », nous a confié Monsieur EVISSOU Yao Apeli Z., le promoteur Directeur Général de la société PARKS SARL.

 

Et d’ajouter : « le projet va s’étendre aux autres régions du territoire togolais. Il va contribuer à créer plus de 3000 emplois ».

 

Le coût des services

 

Les différents services sont subordonnés à un abonnement unique de cinq mille (5000) francs CFA pour les  voitures, et trois mille (3000) francs CFA pour les motos. Ce qui donne accès à tous les services. Ces frais, d’ailleurs promotionnels, courent jusqu’à la fin de l’année 2021. Le dépôt et le traitement des demandes se font à des points de transfert monétaires retenus et à la direction de la société PARKS Sarl.

 

A chaque inscription, le propriétaire bénéficiera d’une vignette sur l’engin enregistré. Elle compte également nouer des partenariats avec d’autres structures offrants des services connexes.


Contacts

Email: parkssarl10gmail.com

Tel: (+228) 99 36 51 47 / 93 34 59 64

03BP : 31067.


07 août 2021

Togo : 26,45% des entreprises crées au 1er semestre 2021 appartiennent aux femmes

 

Image d'archives

La création d’entreprises est en constante augmentation au Togo grâce aux mesures incitatives en vigueur sur le territoire. Les femmes ne sont pas du reste. Grâce à la politique de la promotion du genre du Chef de l'Etat Faure Gnassingbé, plusieurs centaines d'entreprises ont été portées sur les fonts baptismaux par les celles-ci pendant le 1er semestre de l'année en cours, en dépit de la pandémie du covid-19.


De janvier au 1er juillet 2021, 7 311 sociétés ont été créées, ce qui représente une progression de 21% par rapport à la même période l’année passée, où 6 063 entités avaient été enregistrées par le Centre de formalité des entreprises (CFE). De ce chiffre, 6 055 initiatives entrepreneuriales ont été l’œuvre des Togolais, soit 82,82% du nombre total d’entreprises mises en place. Les 17% restants ont été l’initiative des étrangers.


Précisément, 5 375 entreprises ont été créées par des hommes (73,52%). Les femmes se sont occupées de mettre en place 1 936 entités, soit 26,45% des 7 311 entreprises. En réalité, le CFE a noté 4 447 entités formalisées par des personnes physiques (60,83 %) et 2 864 (39,17%) par des personnes morales. Près de 2 500 Sociétés à responsabilité limitée (Sarl) ont été enregistrées, dont 2 274 actes sous seing privés et 229 actes notariés.

Togo-PAEIJ-SP : Des résultats au delà des attentes

 


L’épanouissement de la jeunesse à travers la mise en place d’une politique d’insertion professionnelle adéquate, est un objectif prioritaire pour l’Etat. Logiquement, l’agriculture, secteur aux atouts énormes mais mal exploités, est mis à contribution. Afin de donner un coup d’accélérateur à ce secteur dont ¾ de Togolais actifs font les choux gras, les gouvernants ont initié le Projet d’appui à l’employabilité et à l’insertion des jeunes dans les secteurs porteurs (Paeij-SP). Depuis lors, beaucoup de jeunes ont le sourire aux lèvres.


Le Paeij-SP prend en compte les filières mais, manioc, soja, les petits ruminants et les volailles. Au 30 juin 2021, 28 PME/PMI issues de 10 chaînes de valeurs agricoles ont été appuyées ; 1 420 primo-entrepreneurs individuels et 2 135 groupements ont été accompagnés. 


Ils ont ensuite intégré les chaînes de valeurs agricoles. 13,3 milliards de francs CFA de crédits ont été alloués à 20 PME/PMI, 774 primo-entrepreneurs individuels et 1 159 primo-entrepreneurs en groupements, soit 700 millions de francs CFA de crédits supplémentaires octroyés par rapport au montant initial du projet estimé à 12,6 milliards.

Le Paeij-SP a facilité la création de 35 000 emplois directs, contre 19 600 initialement prévus.

05 août 2021

Créer son entreprise au Togo : Adieu les contraintes !


Créer de la richesse pour plus de prospérité partagée, garantir des conditions de vie dignes et épanouissantes pour tous, renforcer le capital humain, promouvoir le savoir-faire des jeunes et femmes, libéraliser l’économie… sont des objectifs fondamentaux qui sous-tendent la mise en œuvre des politiques d’assainissement de l’environnement des affaires au Togo. Les citoyens en font leurs choux gras pour innover et se mettre à leur propre compte, à l’abri du besoin. Année après année, les chiffres relatifs à l’auto-emploi parlent suffisamment d’eux-mêmes et la pauvreté s’étiole à grande vitesse.


L’essor des entreprises au Togo s’explique par la digitalisation totale des procédures de création des Sarl, la réduction de 90% des frais de création d’entreprise (de 262 000 francs CFA en 2012 à environ 30 000 francs aujourd’hui), la réduction drastique du délai de création d’entreprise (de plusieurs jours auparavant en quelques heures dorénavant), la suppression des droits d’enregistrement et de timbres à la création ; la libéralisation du capital social et de la valeur nominale des parts sociales, l’interconnexion de la base de données des entreprises via le Registre du commerce et du crédit mobilier (RCCM), la gratuité de la publication des annonces légales sur le site web du CFE, etc.


En Conseil des ministres le 07 juillet 2021, le gouvernement a examiné un projet de décret portant approbation de la charte des très petites, petites et moyennes entreprises. La nouvelle catégorisation permettra aux entreprises d’être aguerries pour la concurrence régionale et internationale. Son adoption contribuera à la mise en œuvre des projets prévus au profit du secteur, dans le cadre de la feuille de route gouvernementale (2020-2025). Aujourd’hui, on dénombre plus de 103 000 entreprises créées sur le territoire.

04 août 2021

Togo : Le Paeij-SP a facilité la création de 35 000 emplois directs, contre 19 600 initialement prévus

 


L’épanouissement de la jeunesse à travers la mise en place d’une politique d’insertion professionnelle adéquate, est un objectif prioritaire pour l’Etat. Logiquement, l’agriculture, secteur aux atouts énormes mais mal exploités, est mise à contribution. Afin de donner un coup d’accélérateur à ce secteur dont ¾ de Togolais actifs fait les choux gras, les gouvernants ont initié le Projet d’appui à l’employabilité et à l’insertion des jeunes dans les secteurs porteurs (Paeij-SP). Depuis lors, beaucoup de jeunes ont le sourire aux lèvres.


Le Paeij-SP a été mis sur pied en avril 2016. Ses objectifs s’articulent autour de deux activités : le développement des compétences entrepreneuriales des jeunes dans les secteurs porteurs ; l’appui à la mise en place d’un dispositif inclusif de financement. Le projet devrait durer 05 ans (2016-2020) ; il a été prolongé d’une année et prendra donc fin le 31 décembre 2021. 


Résultats obtenus


Le Paeij-SP prend en compte les filières mais, manioc, soja, les petits ruminants et les volailles. Au 30 juin 2021, 28 PME/PMI issues de 10 chaînes de valeurs agricoles ont été appuyées ; 1 420 primo-entrepreneurs individuels et 2 135 groupements ont été accompagnés. 


Ils ont ensuite intégré les chaînes de valeurs agricoles. 13,3 milliards de francs CFA de crédits ont été alloués à 20 PME/PMI, 774 primo-entrepreneurs individuels et 1 159 primo-entrepreneurs en groupements, soit 700 millions de francs CFA de crédits supplémentaires octroyés par rapport au montant initial du projet estimé à 12,6 milliards. Le Paeij-SP a facilité la création de 35 000 emplois directs, contre 19 600 initialement prévus.

29 juillet 2021

Togo : La Première Ministre Victoire Tmegah-Dogbé lance officiellement l'incubateur "Tįlįtũ" lab de Kara

 


La région de la Kara dispose désormais d'un incubateur de créativité pour la jeunesse. "Tįlįtũ" lab a été lancé  mardi 27 juillet 2021 par Mme le Premier Ministre Victoire Tomégah-Dogbé, en séjour dans la région après le conseil des ministres couplé du séminaire gouvernemental.

 

Le Gouvernement s'est engagé à travers la feuille de route 2020-2025, à faire du Togo, un hub digital. Cette ambition se concrétise davantage avec la création des incubateurs pour les jeunes et les femmes entrepreneurs dans les différentes régions économiques du pays.

 

Après ''Nunya'' lab lancé le 05 novembre 2019 à Lomé et ''Banm'' lab le 21 mai  2021 à Dapaong, c'est au tour de ''Tįlįtũ'' lab à Kara d'être lancé. Il s'agit d'un centre d'excellence installé au sein de la maison des jeunes de Kara pour accompagner et soutenir l'étape de gestation des projets portés par les jeunes de cette région. Il est composé d'espaces de co-working, de bureaux, de salle informatique, d'espaces d'échanges, de réfectoire, d'espace d'exposition de produits et solutions des jeunes entrepreneurs incubés.

 

Réalisé avec l'appui du Programme des nations unies pour le développement (PNUD), l'incubateur de Kara offre une opportunité aux jeunes entrepreneurs de proposer des solutions innovantes surtout aux agriculteurs de l'agropole de Kara en cours d'installation.

 

"La présence d'un 'incubateur à Kara est une opportunité sans précédent offerte aux startups de la région de proposer des services innovants aux exploitants agricoles de l'agropole. Nous attendons des solutions innovantes telles que la mise à disposition de l'importation des technologies au profit des agriculteurs. Des drones pouvant livrer des semences dans des zones où l'accès ne permet pas de réaliser le transport.", a affirmé Aliou M. Dia, Représentant résident du PNUD au Togo.

 

Il a promis un accompagnement continu du PNUD ''sur la labellisation et la certification des incubateurs offrant ainsi la possibilité aux startups de bénéficier des appuis de qualité conformes aux standards qualifiés.''

 

Dans son mot de lancement, la ministre du développement à la base, de la jeunesse et de l'emploi des jeunes, Myriam Dossou d'Almeida, a remercié le Président de la République pour la promesse tenue à l'endroit de la jeunesse de Kara.

 

"Pour accompagner l'éclosion des startups, un programme de déploiement des incubateurs a été engagé par le ministère en charge de la jeunesse conformément aux engagements du Chef de l'État vis-à-vis des jeunes en particulier, celui relatif à la poursuite de la mise en place des incubateurs modernes pour les jeunes au moins quatre par région. Le 21 mai 2021, nous lancions à la maison des jeunes de Dapaong, l'incubateur ''Banm'' lab. Il s'agissait d'un programme de la décentralisation des connaissances. Il s'agit également là, d'une vraie contribution au développement du hub digital suivant la feuille de route gouvernementale qui ambitionne de disséminer les incubateurs, des centres dédiés à l'innovation, dans toutes les régions du pays afin de donner aux jeunes de toutes les contrées de notre pays, les mêmes forces de contribuer au développement.", a indiqué la ministre.

 

Après la coupure du ruban symbolique, Mme le Premier Ministre et sa délégation ont fait une visite guidée de l'ouvrage réalisé par de jeunes architectes togolais.


En séjour dans la région, Mme le Premier Ministre Victoire Tomégah-Dogbé a effectué des visites de terrain ce mardi 27 juillet 2021 dans la préfecture de la Kozah. Elle a visité la Zone d'aménagement agricole planifiée (ZAAP) de Pya.

 


La ZAAP Pya qui s'étend sur une superficie de 107 ha, a été créée en 2017. Trois principales spéculations sont produites notamment, le maïs, le soja et le riz selon un plan cultural suivi par des techniciens du ministère en charge de l'agriculture.

 

''Le gouvernement nous a beaucoup aidé. Nous avons les tracteurs qui nous labourent les terres, c'est grâce à l'appui du gouvernement. Le magasin de stockage, les logements,  les bureaux, l'aire de séchage des produits, c'est grâce au gouvernement togolais. Il y a un grand changement dans notre vie, tout le monde mange à sa faim, nous arrivons à scolariser très bien nos enfants. Les femmes qui n'arrivaient même pas à faire quelque chose ont aujourd'hui quelque chose en main.'', a confié Mme  Matchanbo Mazalo, présidente de la ZAAP Pya.

05 juillet 2021

Togo : 7311 entreprises créées au 1er semestre 2021, une hausse de 21% par rapport à 2020

 


Au Togo, la dynamique se maintient dans le domaine des initiatives entrepreneuriales. Après avoir repoussé ses limites en 2020 malgré la pandémie de Covid-19, la création d’entreprise a été de nouveau prolifique durant les six premiers mois de 2021.

 

En tout, 7311 nouvelles sociétés ont vu le jour durant ce premier semestre, selon les données fournies par le Centre de Formalité des Entreprises (CFE). C’est une progression de près 21% par rapport à la même période de l’an dernier, où 6063 nouvelles entités avaient été enregistrées.

 

Dans les détails, le premier trimestre (4087 entreprises) a connu une certaine constance avec en moyenne 1300 sociétés déclarées mensuellement de janvier à mars.

 

Plus de 82% des entreprises (6055) ont été créés par des Togolais et 17% par des étrangers. 73% des entités ont été déclarées par des hommes, et 26% par des femmes, dans le même trend que les années précédentes.

 

Le CFE a également relevé 4447 entités formalisées par des personnes physiques (60,83 %) contre 2864 (39,17%) par des personnes morales. En ce qui concerne les SARL, près de 2500 ont été enregistrées, dont 2274 actes sous seing privés et 229 actes notariés.

 

Ces dernières années, le Togo a mis le turbo afin de faciliter l’environnement des affaires. D’importantes réformes ont été menées dans ce sens, couronnées par de bonnes progressions dans les classements internationaux.


Avec Republiquetogolaise.com

 

22 juin 2021

Développement à la base : 2,7 milliards F CFA de crédits mobilisés pour les jeunes togolais en 2020 malgré la covid-19

 


Au Togo, malgré la pandémie du covid-19, le développement à la base a été optimisé en 2020, c’est le moins qu’on puisse dire. Le ministère du Développement à la base, de la Jeunesse et de l’Emploi des jeunes n’a en aucun moment tourné le dos aux populations. La jeunesse n'a pas été du reste.

 

Il a exécuté sa lettre de mission à 97,4% grâce aux 25 milliards de francs CFA mobilisés au cours de l’année. Plus de 59 000 ménages vulnérables ont bénéficié des transferts monétaires de 15 000 francs CFA par trimestre. Près de 9 000 nouveaux jeunes ont renforcé leur employabilité et environ 20 000 jeunes et femmes ont été formés en entrepreneuriat.

 

Le ministère a mobilisé 2,7 milliards de francs CFA de crédits pour les jeunes. Cette aide a facilité la création de plus de 7 300 microentreprises, généré au moins 13 800 emplois directs et plus de 251 000 emplois temporaires. La mesure présidentielle d’attribution de 25% de marchés publics aux jeunes et femmes entrepreneurs a permis d’accorder 350 millions de francs CFA à la cible. En outre, 1 069 entreprises artisanales ont été créées avec 2 546 emplois artisanaux générés.

03 avril 2021

Togo : Kodjo ADEDZE donne le ton aux préparatifs de l'acte 2 du « Mois du consommer local »


Le « mois du consommer local », initiative dédiée à valoriser et intensifier la promotion de la consommation des biens et services locaux, aura encore bel et bien lieu cette année (en octobre) malgré la crise sanitaire liée à la pandémie du covid-19. Le ton aux préparatifs de cette deuxième édition, a été donné ce vendredi 2 mars 2021 à Lomé par le ministre en charge du commerce, Kodjo ADEDZE, au cours de la 1ère réunion du comité d’organisation. 

 

Présidant personnellement cette réunion préparatoire, le ministre du commerce a félicité les membres du comité d’organisation pour leur implication dans la réussite de la première édition tenue en octobre 2020. Cette première édition, a-t-il souligné, a permis de « découvrir un secteur très actif avec des acteurs qui développent une intelligence très appréciable et qui méritent plus d’encouragement ».

 

Kodjo ADEDZE a rappelé tout l’intérêt que le gouvernement accorde à la consommation locale. Pour preuves, l’élaboration de la stratégie nationale qui prend en compte d’importants leviers pour une profonde mise en œuvre de la promotion de la consommation locale, la valorisation des mets locaux et le port des tenues locales lors des séances officielles par les membres du gouvernement, la mise en œuvre des mécanismes d’appui aux initiatives et producteurs locaux, etc.


 

Comme la première, la deuxième édition du « mois du consommer local » sera organisée dans le contexte sanitaire particulier de la covid19.

 

« J’invite les membres du comité ainsi que leurs proches à se faire vacciner pour se protéger et limiter la contamination. La meilleure option à choisir, c’est de se faire vacciner, d’être fidèle aux instructions du gouvernement en respectant rigoureusement les mesures barrières, et ne surtout pas céder aux fake news », a lancé M. Adedze.

 

Les activités inscrites au programme de la 2ème  édition de ce ‘mois du consommer local seront bientôt connues.

 

Pour rappel, cette initiative de valorisation et l’intensification de la promotion de la consommation locale des biens et services locaux afin de susciter l’envie et l’intérêt de la population pour leur utilisation, a été inspirée par l’UEMOA. Il se déroule dans les 8 pays 

18 mars 2021

"Un togolais une entreprise", une solution aux problèmes de financement des jeunes entrepreneurs



C'est une aubaine pour les jeunes désireux de se lancer dans l'auto-emploi. Le projet "Un togolais une entreprise" tombe à pic. Avec pour objectif de booster le génie créateur de la jeunesse togolaise, l'initiative portée par  Aladin Group a été lancée ce mercredi 17 mars 2021 à Lomé. Elle va permettre aux porteurs d'idées d'entreprise de faire face au casse-tête chinois qu'est « le financement ».

 

Le projet "un togolais une entreprise" se veut innovant, ambitieux et révolutionnaire, d'autant plus que c'est une initiative fortement conçue et pilotée par des jeunes. Il va permettre aux togolais de mieux faire face aux défis du développement et de création de richesses.


"Un togolais une entreprise" vise à apporter des financements, de la matière grise, des appuis techniques, moraux et matériels à la jeune pépinière d’entrepreneurs dans  les domaines de l’Agro Business, de l’Économie Numérique, de l’Artisanat et autres.

 

Pour cette première édition, plus de 500 projets seront sélectionnés et financés à hauteur de 300.000  à 5.000.000 FCFA, ceci en fonction de leur pertinence et de leur contribution aux objectifs de développement prônés par le Chef de l’État Faure Gnassingbé, et en lien avec le plan national de développement (PND 2018-2022). Tout togolais âgé de 15 à 55 ans peut postuler.


« C’est un programme que nous avons mis en place pour permettre aux jeunes de réaliser leur rêve, celui de devenir entrepreneurs et participer au développement du Togo. Nous savons qu'il y a des difficultés liées aux financements, donc le programme vient apporter une solution à ce problème. Nous sommes prêts à financier des projets à hauteur de 45 millions FCFA.  Nous avons des partenaires qui nous soutiennent. C’est le lieu de faire appel à d’autres et aussi aux bonnes volontés  de nous rejoindre»,  a indiqué Adou Aly Diallo, Président-Directeur Général d'Aladin Group.


Faut-il le préciser, Aladin Group est spécialisé dans l’Agro Business, la formation et le financement des projets.

17 février 2021

Créer son entreprise au Togo : la voie toute tracée

 


Au rang des mesures qui incitent les Togolais à entreprendre pour se prendre en charge, il y a la réduction de 90% des frais de création des entreprises au cours des dernières années.

 

Ces frais sont passés de 262 000 francs CFA en 2012 à 25 400 francs en 2020. La publication des annonces légales sur le site web du CFE a été rendue gratuite. Quelques années plus tôt, elle s’élevait à 62 000 francs CFA.


En outre, il y a aujourd’hui la possibilité de créer des Sociétés à responsabilité limitée (Sarl) par acte sous seing privé sans oublier l’effectivité de la création, modification ou dissolution en ligne d’une entreprise ; la suppression des droits d’enregistrement et de timbres à la création ; la réduction du délai de création d’entreprise ; la libéralisation du capital social et de la valeur nominale des parts sociales, le paiement des frais de dossiers pour les formalités par TMoney, Flooz, Mastercard et Carte Visa, etc. On dénombre plus de 96 000 entreprises au Togo à ce jour.

03 février 2021

12 529 entreprises créées en 2020 au Togo grâce aux réformes socioéconomiques judicieuses

 


La création d’entreprises monte en flèche au Togo, pays dont l’environnement des affaires est très amical. Conséquemment, les citoyens deviennent de plus en plus entrepreneurs, autonomes, responsables, conscients de l’évidence selon laquelle le meilleur emploi aujourd’hui est l’auto-emploi. Depuis 2012, les initiatives socioéconomiques des jeunes et femmes s’accroissent grâce aux mesures de grande valeur prises par les décideurs politiques pour étouffer la pauvreté, le chômage et le sous-emploi.


En 2020, en dépit de la pandémie de coronavirus et la crise sanitaire, la création d’entreprises s’est faite ressentir. 12 529 nouvelles entreprises ont été créées au cours de l’année susmentionnée, soit une hausse de 9% par rapport à 2019 où 11 482 entités avaient été mises sur pied.


Les femmes saisissent de plus en plus leurs chances


Les chiffres publiés par le Centre de formalité des entreprises (CFE) indiquent que les mois d’octobre, janvier, juillet, août et mars ont été les plus féconds avec respectivement 1 340, 1 320, 1 201, 1 181 et 1 180 entreprises créées. 77% des entreprises ont été mises en place par les Togolais. Les 23% restants (+3% par rapport à 2019) appartiennent aux étrangers séduits par le paysage économique du pays. Par-dessus tout, les efforts de promotion de la gent féminine ont fait augmenter le nombre d’entités lancées par les femmes de 11%. Sur les 12 529 entreprises, elles en ont créé 3 426, soit 27,2% de toutes les entités nées au cours de l’année. 63% des entreprises fondées en 2020 ont été formalisées sous forme de personne physique ; le reste sous le statut de personne morale. 


Une voie toute tracée

Au rang des mesures qui incitent les Togolais à entreprendre pour se prendre en charge, il y a la réduction de 90% des frais de création des entreprises au cours des dernières années. Ces frais sont passés de 262 000 francs CFA en 2012 à 25 400 francs en 2020. La publication des annonces légales sur le site web du CFE a été rendue gratuite. Quelques années plus tôt, elle s’élevait à 62 000 francs CFA.


En outre, il y a aujourd’hui la possibilité de créer des Sociétés à responsabilité limitée (Sarl) par acte sous seing privé sans oublier l’effectivité de la création, modification ou dissolution en ligne d’une entreprise ; la suppression des droits d’enregistrement et de timbres à la création ; la réduction du délai de création d’entreprise ; la libéralisation du capital social et de la valeur nominale des parts sociales, le paiement des frais de dossiers pour les formalités par TMoney, Flooz, Mastercard et Carte Visa, etc. On dénombre plus de 96 000 entreprises au Togo à ce jour.

31 janvier 2021

Togo : L’Initiative «Challenge Solupreneurs » pour l’éclosion d’une nouvelle élite d’entrepreneurs

 


Ce samedi 30 janvier 2021, a été officiellement lancé à Lomé la première édition de l’initiative « CHALLENGE DES SOLUPRENEURS ». L’évènement marqué par un Meet-up,  a réuni plusieurs dizaines de jeunes entrepreneurs autour de thème ‘’la nouvelle élite d’entrepreneur dont le Togo a besoin’’.

 

Trois communications ont agrémenté la rencontre.

 

La première a été donnée par Dr Frank E. KLUTSE,  Président Directeur Général de la Citoyenne Vie (compagnie assurance vie), basée à Lomé. Sa présentation est axée sur « les solutions en assurance  pour les entrepreneurs togolais ».

 

Après avoir expliqué ce qu’est une assurance, il a indiqué qu’aujourd’hui, les assurances sont méconnues à cause de plusieurs raisons dont le manque d’information. « Tout agent économique, court forcément des risques », a-t-il relevé.


« Nous apportons des solutions assurantielles adaptées aux réalités de nos populations surtout des micro-produits à des prix très raisonnables, flexibles et très abordables » a-t-il indiqué.


En ce qui concerne les produits au public particulièrement à l’endroit des entrepreneurs, « nous avons une panoplie d’offres dont le produit phare est dénommé ‘’M’vo’’. C’est la micro épargne santé vie entière qui est un produit package qui a trois garanties : la première garantie est relative à l’épargne, la deuxième garantie est liée au risque de ‘’disparition’’ ou d’invalidité permanente et totale et la dernière garantie est liée à la maladie en partenariat avec des mutuelles de santé » a-t-il souligné.

 

« Vous payez juste 3500 F/mois ou 42000 F/ an et vous bénéficiez de toutes ces garanties » a-t-il ajouté.

 

La deuxième communication a été présentée par Mme TCHAGNAOU Koubouratou. Elle a martelé d’entrée que pour entreprendre et évoluer, « il faut s’imposer la détermination, une vision, quel que soit l’obstacle, quelles que soient les perturbations. Ce n’est pas évident qu’on commence au début et que ça marche automatiquement.


« C’est dans la détermination et la persévérance que vous allez acquérir l’expérience. Nos entrepreneurs togolais ont de l’avenir parce qu’il y’a déjà le talent, il suffit de la persévérance  et plus de motivation et le tour est joué », a-t-elle laissé à l’endroit des entrepreneurs.

 

La troisième communication est l’œuvre du Maire de la commune Golfe 5 Kossi ABOKA.

« Le temps des criquets et fini, nous sommes à l’ère de la pratique, l’ère de la technologie appliquée. « Il faut que nos entrepreneurs créent, innovent, pour se hisser et hisser le Togo dans le concert des nations. Nous avons les mêmes potentialités que les européens, les américains, les chinois et japonais…  », a-t-il lancé.


« Le développement est vrai, il faut les moyens mais les moyens que nous devons avoir c’est la volonté. Aujourd’hui, le chef de l’Etat a mis en place plusieurs structures pour accompagner la jeunesse pour son épanouissement pour que les gens puissent créer, puissent innover mais sachant que l’élément premier dont nous avons besoin ce n’est pas l’argent, mais plutôt la  volonté. Il faut d’abord avoir la vision et quand on a la vision, quand on a la volonté, quand on met les moyens qui l’accompagnent, on réussit. On peut avoir l’argent mais quand on n’a pas la volonté, on peut échouer. C’est pourquoi il faut la volonté, la détermination, a-t-il renchérit.

 

Selon Théophile Kwassi, l’un des promoteurs du « Challenge solupreneur », l’initiative est une plateforme qui réunit les entrepreneurs sur toute l’étendue du territoire national répartis en trois catégories dont l’agroalimentaire, le cosmétique, et l’artisanat. Après l’étape de présélection, 30 concurrents, 10 de chaque catégorie ont été retenus pour la phase finale.

 

«Un Solupreneur est un entrepreneur qui apporte de solutions pour un développement durable avec des idées novatrices économiquement viables, qui apporte un bien-être social et le respect de l’environnement. Ce challenge est un défi qui veut rénover et apporter une solution durable», a-t-il souligné.

 

 Le « Challenge Solupreneur» est un concours qui vise à promouvoir l’excellence entrepreneurial. Le défi majeur sera d’engager ces entrepreneurs pour proposer des solutions avec les richesses matérielles et intellectuelles locales. Il a pour finalité à court terme d’accompagner la relance économique des PME post-covid à travers leur repositionnement et celui de leurs produits.