Officiellement présent à Conakry pour des « enquêtes », Dietrich avait été arrêté dimanche 14 janvier 2024 dans un hôtel de Kipé, en banlieue de Conakry, alors qu'il "menait des activités subversives, de tentative de déstabilisation du régime du Colonel Mamadi Doumbouya", selon plusieurs sources.
Des indiscrétions du côté de la Guinée, le journaliste n’était pas à ses premiers ennuis avec les régimes guinéens. Thomas Dietrich aurait tenté par des chantages sous Alpha Condé, sans succès. Ce qui lui a valu en mars 2020 une interpellation et une expulsion vers la France.
Pour qui travaille-t-il ?
A cette interrogation, des enquêtes émanant des services de renseignement togolais révèlent que ledit journaliste est à la solde d’un réseau mafieux en Europe et en Asie. Thomas Dietrich n'est nul part que dans son rôle de diffamateur et de destructeur des pays dans le collimateur de la France. Le Togo faisait partie de son plan de basses besognes.
En effet il ressort des faits d'espèce que le journaliste avait tenté d’entrée au Togo dans la nuit de samedi à dimanche comme simple touriste, aux environs de 1 heures 30 du matin. Il fut détecté et refoulé par les services d’immigration du Togo, en provenance du Bénin où ils ont une base composée de journalistes français, africains, béninois et togolais et aussi d’acteurs de la société civile.
Faut-il évoquer une mission commandée?
Selon les recoupements, si Thomas Dietrich était entré illégalement à Lomé par la brousse et hébergé dans un espace culturel togolais, c'est qu'il aurait nécessairement une orientation "nuisible" qu'il essayait de protéger.
Malheureusement il fut identifié par les des services togolais de renseignement et pris en flagrant délit d’activités subversives.
Selon les informations, il est actuellement dans les mains des services de renseignement. L'Ambassade de France au Togo, de son côté multiplie des actions pour sa remise en liberté et son extradition vers la France.
Aucun commentaire
Enregistrer un commentaire