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18 mars 2021

"Un togolais une entreprise", une solution aux problèmes de financement des jeunes entrepreneurs



C'est une aubaine pour les jeunes désireux de se lancer dans l'auto-emploi. Le projet "Un togolais une entreprise" tombe à pic. Avec pour objectif de booster le génie créateur de la jeunesse togolaise, l'initiative portée par  Aladin Group a été lancée ce mercredi 17 mars 2021 à Lomé. Elle va permettre aux porteurs d'idées d'entreprise de faire face au casse-tête chinois qu'est « le financement ».

 

Le projet "un togolais une entreprise" se veut innovant, ambitieux et révolutionnaire, d'autant plus que c'est une initiative fortement conçue et pilotée par des jeunes. Il va permettre aux togolais de mieux faire face aux défis du développement et de création de richesses.


"Un togolais une entreprise" vise à apporter des financements, de la matière grise, des appuis techniques, moraux et matériels à la jeune pépinière d’entrepreneurs dans  les domaines de l’Agro Business, de l’Économie Numérique, de l’Artisanat et autres.

 

Pour cette première édition, plus de 500 projets seront sélectionnés et financés à hauteur de 300.000  à 5.000.000 FCFA, ceci en fonction de leur pertinence et de leur contribution aux objectifs de développement prônés par le Chef de l’État Faure Gnassingbé, et en lien avec le plan national de développement (PND 2018-2022). Tout togolais âgé de 15 à 55 ans peut postuler.


« C’est un programme que nous avons mis en place pour permettre aux jeunes de réaliser leur rêve, celui de devenir entrepreneurs et participer au développement du Togo. Nous savons qu'il y a des difficultés liées aux financements, donc le programme vient apporter une solution à ce problème. Nous sommes prêts à financier des projets à hauteur de 45 millions FCFA.  Nous avons des partenaires qui nous soutiennent. C’est le lieu de faire appel à d’autres et aussi aux bonnes volontés  de nous rejoindre»,  a indiqué Adou Aly Diallo, Président-Directeur Général d'Aladin Group.


Faut-il le préciser, Aladin Group est spécialisé dans l’Agro Business, la formation et le financement des projets.

17 février 2021

Créer son entreprise au Togo : la voie toute tracée

 


Au rang des mesures qui incitent les Togolais à entreprendre pour se prendre en charge, il y a la réduction de 90% des frais de création des entreprises au cours des dernières années.

 

Ces frais sont passés de 262 000 francs CFA en 2012 à 25 400 francs en 2020. La publication des annonces légales sur le site web du CFE a été rendue gratuite. Quelques années plus tôt, elle s’élevait à 62 000 francs CFA.


En outre, il y a aujourd’hui la possibilité de créer des Sociétés à responsabilité limitée (Sarl) par acte sous seing privé sans oublier l’effectivité de la création, modification ou dissolution en ligne d’une entreprise ; la suppression des droits d’enregistrement et de timbres à la création ; la réduction du délai de création d’entreprise ; la libéralisation du capital social et de la valeur nominale des parts sociales, le paiement des frais de dossiers pour les formalités par TMoney, Flooz, Mastercard et Carte Visa, etc. On dénombre plus de 96 000 entreprises au Togo à ce jour.

03 février 2021

12 529 entreprises créées en 2020 au Togo grâce aux réformes socioéconomiques judicieuses

 


La création d’entreprises monte en flèche au Togo, pays dont l’environnement des affaires est très amical. Conséquemment, les citoyens deviennent de plus en plus entrepreneurs, autonomes, responsables, conscients de l’évidence selon laquelle le meilleur emploi aujourd’hui est l’auto-emploi. Depuis 2012, les initiatives socioéconomiques des jeunes et femmes s’accroissent grâce aux mesures de grande valeur prises par les décideurs politiques pour étouffer la pauvreté, le chômage et le sous-emploi.


En 2020, en dépit de la pandémie de coronavirus et la crise sanitaire, la création d’entreprises s’est faite ressentir. 12 529 nouvelles entreprises ont été créées au cours de l’année susmentionnée, soit une hausse de 9% par rapport à 2019 où 11 482 entités avaient été mises sur pied.


Les femmes saisissent de plus en plus leurs chances


Les chiffres publiés par le Centre de formalité des entreprises (CFE) indiquent que les mois d’octobre, janvier, juillet, août et mars ont été les plus féconds avec respectivement 1 340, 1 320, 1 201, 1 181 et 1 180 entreprises créées. 77% des entreprises ont été mises en place par les Togolais. Les 23% restants (+3% par rapport à 2019) appartiennent aux étrangers séduits par le paysage économique du pays. Par-dessus tout, les efforts de promotion de la gent féminine ont fait augmenter le nombre d’entités lancées par les femmes de 11%. Sur les 12 529 entreprises, elles en ont créé 3 426, soit 27,2% de toutes les entités nées au cours de l’année. 63% des entreprises fondées en 2020 ont été formalisées sous forme de personne physique ; le reste sous le statut de personne morale. 


Une voie toute tracée

Au rang des mesures qui incitent les Togolais à entreprendre pour se prendre en charge, il y a la réduction de 90% des frais de création des entreprises au cours des dernières années. Ces frais sont passés de 262 000 francs CFA en 2012 à 25 400 francs en 2020. La publication des annonces légales sur le site web du CFE a été rendue gratuite. Quelques années plus tôt, elle s’élevait à 62 000 francs CFA.


En outre, il y a aujourd’hui la possibilité de créer des Sociétés à responsabilité limitée (Sarl) par acte sous seing privé sans oublier l’effectivité de la création, modification ou dissolution en ligne d’une entreprise ; la suppression des droits d’enregistrement et de timbres à la création ; la réduction du délai de création d’entreprise ; la libéralisation du capital social et de la valeur nominale des parts sociales, le paiement des frais de dossiers pour les formalités par TMoney, Flooz, Mastercard et Carte Visa, etc. On dénombre plus de 96 000 entreprises au Togo à ce jour.

31 janvier 2021

Togo : L’Initiative «Challenge Solupreneurs » pour l’éclosion d’une nouvelle élite d’entrepreneurs

 


Ce samedi 30 janvier 2021, a été officiellement lancé à Lomé la première édition de l’initiative « CHALLENGE DES SOLUPRENEURS ». L’évènement marqué par un Meet-up,  a réuni plusieurs dizaines de jeunes entrepreneurs autour de thème ‘’la nouvelle élite d’entrepreneur dont le Togo a besoin’’.

 

Trois communications ont agrémenté la rencontre.

 

La première a été donnée par Dr Frank E. KLUTSE,  Président Directeur Général de la Citoyenne Vie (compagnie assurance vie), basée à Lomé. Sa présentation est axée sur « les solutions en assurance  pour les entrepreneurs togolais ».

 

Après avoir expliqué ce qu’est une assurance, il a indiqué qu’aujourd’hui, les assurances sont méconnues à cause de plusieurs raisons dont le manque d’information. « Tout agent économique, court forcément des risques », a-t-il relevé.


« Nous apportons des solutions assurantielles adaptées aux réalités de nos populations surtout des micro-produits à des prix très raisonnables, flexibles et très abordables » a-t-il indiqué.


En ce qui concerne les produits au public particulièrement à l’endroit des entrepreneurs, « nous avons une panoplie d’offres dont le produit phare est dénommé ‘’M’vo’’. C’est la micro épargne santé vie entière qui est un produit package qui a trois garanties : la première garantie est relative à l’épargne, la deuxième garantie est liée au risque de ‘’disparition’’ ou d’invalidité permanente et totale et la dernière garantie est liée à la maladie en partenariat avec des mutuelles de santé » a-t-il souligné.

 

« Vous payez juste 3500 F/mois ou 42000 F/ an et vous bénéficiez de toutes ces garanties » a-t-il ajouté.

 

La deuxième communication a été présentée par Mme TCHAGNAOU Koubouratou. Elle a martelé d’entrée que pour entreprendre et évoluer, « il faut s’imposer la détermination, une vision, quel que soit l’obstacle, quelles que soient les perturbations. Ce n’est pas évident qu’on commence au début et que ça marche automatiquement.


« C’est dans la détermination et la persévérance que vous allez acquérir l’expérience. Nos entrepreneurs togolais ont de l’avenir parce qu’il y’a déjà le talent, il suffit de la persévérance  et plus de motivation et le tour est joué », a-t-elle laissé à l’endroit des entrepreneurs.

 

La troisième communication est l’œuvre du Maire de la commune Golfe 5 Kossi ABOKA.

« Le temps des criquets et fini, nous sommes à l’ère de la pratique, l’ère de la technologie appliquée. « Il faut que nos entrepreneurs créent, innovent, pour se hisser et hisser le Togo dans le concert des nations. Nous avons les mêmes potentialités que les européens, les américains, les chinois et japonais…  », a-t-il lancé.


« Le développement est vrai, il faut les moyens mais les moyens que nous devons avoir c’est la volonté. Aujourd’hui, le chef de l’Etat a mis en place plusieurs structures pour accompagner la jeunesse pour son épanouissement pour que les gens puissent créer, puissent innover mais sachant que l’élément premier dont nous avons besoin ce n’est pas l’argent, mais plutôt la  volonté. Il faut d’abord avoir la vision et quand on a la vision, quand on a la volonté, quand on met les moyens qui l’accompagnent, on réussit. On peut avoir l’argent mais quand on n’a pas la volonté, on peut échouer. C’est pourquoi il faut la volonté, la détermination, a-t-il renchérit.

 

Selon Théophile Kwassi, l’un des promoteurs du « Challenge solupreneur », l’initiative est une plateforme qui réunit les entrepreneurs sur toute l’étendue du territoire national répartis en trois catégories dont l’agroalimentaire, le cosmétique, et l’artisanat. Après l’étape de présélection, 30 concurrents, 10 de chaque catégorie ont été retenus pour la phase finale.

 

«Un Solupreneur est un entrepreneur qui apporte de solutions pour un développement durable avec des idées novatrices économiquement viables, qui apporte un bien-être social et le respect de l’environnement. Ce challenge est un défi qui veut rénover et apporter une solution durable», a-t-il souligné.

 

 Le « Challenge Solupreneur» est un concours qui vise à promouvoir l’excellence entrepreneurial. Le défi majeur sera d’engager ces entrepreneurs pour proposer des solutions avec les richesses matérielles et intellectuelles locales. Il a pour finalité à court terme d’accompagner la relance économique des PME post-covid à travers leur repositionnement et celui de leurs produits.

30 janvier 2021

Financement de projets : Ecobank Togo s'engage à accompagner les jeunes entrepreneurs

 


Le ministère du développement à la base, de la jeunesse et de l'emploi des jeunes et Ecobank Togo sont désormais liés par un partenariat. La signature de la convention de partenariat entre les deux parties a eu lieu ce vendredi 28 janvier 2021 à la Primature à Lomé.

 

Le gouvernement à travers plusieurs mécanismes, s'est engagé à garantir une source de financement aux jeunes et femmes entrepreneurs pour des projets porteurs. Ecobank Togo accompagne cette ambition d'autonomiser les jeunes et femmes entrepreneurs avec un concours financier estimé déjà à environ 150 millions de FCFA.

 

L'institution bancaire compte faire davantage avec la signature de cette convention de partenariat qui selon son Directeur général Souleymane Touré, ''ouvrira la voie à Ecobank d'assister et d'apporter des financements adaptés et des appuis techniques aux jeunes entrepreneurs dont les projets sont portés par le FAIEJ''. Ecobank Togo prend ainsi l'engagement de favoriser l'accès des jeunes aux financements bancaires pour leur croissance.

 

''La présente convention permettra de poser les bases d'une collaboration entre Ecobank Togo et le ministère en charge de la jeunesse à travers le FAIEJ. Elle permettra également de mettre en œuvre un programme favorisant l'accès au crédit des jeunes à des conditions attractives tout en intégrant les conditions avantageuses du programme ''Ellever'' du groupe Ecobank '', a déclaré la Ministre en charge de la jeunesse, Myriam Dossou-d'Almeida.

 


En marge de cette cérémonie de signature de convention, les deux parties ont échangé avec Mme le Premier Ministre Victoire Tomégah-Dogbé en présence des jeunes et femmes entrepreneurs.

17 décembre 2020

Togo : Prinz Lorenzo et kouami Elom Kpelly appellent la diaspora à investir dans l'entrepreneuriat des jeunes

 


Deux jeunes leaders  Prinz LORENZO et kouami Elom Paul KPELLY   ont échangé avec la presse ce mercredi 16 décembre 2020 à l'hôtel 2 Février, sur les voies et moyens à mettre en œuvre pour promouvoir l'auto emploi et la résilience des jeunes au Togo.  Ambassadeurs de l'emploi des jeunes et  membres de la coalition nationale pour l'emploi des jeunes (CNEJ), ils ont réitéré leur engagement à stimuler le goût au risque au bénéfice des jeunes togolais.

 

C'est en effet, un cadre créé par les deux jeunes entrepreneurs pour parler de leur expérience et parcours au grand public à travers la presse togolaise. L'occasion a permis également d'évoquer le secret de leur succès dans l'entrepreneuriat au Togo. La question liée à  l'apport de la diaspora dans cette bataille économique et sociale  a été largement abordé.

 

« L’Afrique et le Togo en particulier est le présent et le future économique du monde. Nous avons abandonné le confort et les avantages que nous avions en Europe pour nous installer au Togo afin de créer de l'emploi et de la richesse interne. Et ce, nous ne regrettons aucunement. C'est juste une logique de patience et on finit par sortir gagnant. Et c'est pour cette raison que la diaspora doit s'impliquer désormais non seulement en réorientant  ses  apports mais aussi en faisant un effort supplémentaire pour aider à la création de véritables entreprises au Togo. Cela pourra décourager les candidats à l'immigration clandestine », a martelé Paul KPELLY, Promoteur de KING KOFFEE et chef d'autres entreprises au Togo.

 

Quant au boxeur Togolais et Chef d'entreprises  Prinz LORENZO, l'objectif  est aussi d'amener les jeunes togolais à être au parfum des structures d'accompagnement disponibles en leur faveur pour saisir  les opportunités mises en œuvre par le gouvernement.

 

Les deux leaders se disent disponibles pour soutenir et apporter leur contribution aux jeunes qui voudront bien leur emboîter le pas.

23 novembre 2020

Togo : Un climat des affaires sain, du pain bénit pour les entrepreneurs

 


L’entrepreneuriat est en plein essor au Togo grâce au leadership des dirigeants et aux réformes opérées pour rendre le mieux sain et propice.

 

De 2012 à 2019, 8 900 entités ont été créées en moyenne annuelle. Les autorités se sont pliées en quatre pour réduire de 90% les frais de création d’entreprise. De 262 000 francs en 2012, ils s’élèvent à environ 30 000 francs dorénavant. La publication des annonces légales sur le site web du Centre de formalité des entreprises (CFE) est maintenant gratuite ; elle coûtait 62 000 francs il y a quelques années.


Aujourd’hui, on a la possibilité de créer des Sociétés à responsabilité limitée (Sarl) par acte sous seing privé ; de modifier ou dissoudre en ligne une entreprise ; de payer les frais de dossiers par TMoney, Flooz, Mastercard et Carte Visa, etc. Cela a permis à plus de 92 000 entreprises de naître au Togo.

31 octobre 2020

Togo : Le Crédit jeune entrepreneur du FAIEJ, c’est à un taux de 4,5%

 


Lancé  en octobre 2013 pour offrir un accompagnement financier aux jeunes dans l’établissement et le démarrage de leurs projets, le crédit jeune entrepreneur suit un mécanisme très simple.


C’est un système de prêt qui finance à hauteur de 95% le coût total du projet avec un plafond limité à 2 500 000 francs CFA. Dans le cas d’une association de promoteurs, le plafond est fixé à 6 000 000. Le taux applicable est de 4,5% avec un différé maximum de 06 mois, selon la nature de l’activité, sur une durée maximale de 36 mois. Le jeune promoteur ne rembourse que les intérêts du différé et évite une grosse charge financière. 


Au même moment, une épargne d’un taux de 1,5% du montant des investissements est réservée sur le compte du bénéficiaire pour renforcer ses capacités.

21 octobre 2020

365 candidats en lice pour le Certificat de fin d’apprentissage dans la commune Golfe 5

 


L’examen national du Certificat de fin d’apprentissage (CFA), session 2020 a démarré depuis lundi 19 octobre 2020. Les épreuves, se déroulent dans 365 centres d’écrit répartis sur toute l’étendue du territoire, dont celui Lycée Agoè AVEDJI-ELAVAGNO.


Composent dans ce centre, 113 candidates-couturières ‘’option dame’’, venues du grand Lomé.

Selon Akakpo Mensan, président du jury du centre Lycée Agoè AVEDJI-ELAVAGNO, tout se déroule à merveille.  Le centre a reçu la visite du maire d’Agoè-Nyivé 3 Yawo Adonkanu. Celui-ci s’est félicité de la bonne marche de l’examen, invitant les candidates à plus de perfectionnement.

Sur le plan national, ils sont 28 230 candidats (parmi lesquels 7924 hommes) à prendre part à cet examen national du Certificat de fin d’apprentissage (CFA), session 2020 dont les épreuves se déclinent en plusieurs spécialités : couture, coiffure, photographie, boulangerie, maçonnerie, électricité, cordonnerie, plomberie ou encore carrelage, entre autres.


Pour la circonstance, une délégation officielle, conduite par le ministre en charge de l’enseignement technique et de l’artisanat, Eké Hodin, a effectué une tournée dans plusieurs centres afin de s’assurer de l’effectivité des opérations et du respect des mesures sanitaires. « Le Togo a besoin de vous pour créer le développement, et l’artisanat doit apporter sa pierre à l’édification du pays », a adressé le ministre à l’endroit des candidats. L’officiel a également invité ses interlocuteurs à se regrouper en entreprises et se formaliser, une fois obtenu le diplôme, afin de bénéficier des projets du gouvernement.


En rappel, le CFA scelle la fin d’un contrat de trois ans (en moyenne) d’apprentissage et de formation dans les métiers reconnus par l’Etat. L’examen prend fin samedi 24 octobre 2020.

15 octobre 2020

Togo : « Mois du consommer local » : le Ministre Kodjo Adedzé a parlé « qualité et efficacité » lors de sa visite d’entreprise à la FEP-CLO

 


Les activités inscrites au programme de la première édition du « Mois de consommer local » se poursuivent à merveille. Résolument engagé à faire du « Made in Togo » un outil non seulement de développement, mais aussi identitaire et promoteur des valeurs citoyennes, le Ministre du commerce, de l’industrie et de la consommation locale est depuis quelques jours sur le terrain, aussi bien dans la capitale qu’à l’intérieur du pays, à la rencontre des producteurs. Ce jeudi 15 octobre 2020, Kodjo Adedzé et sa suite ont rendu visite la Coopérative Fédération des Entrepreneurs pour la Promotion de la Consommation Locale (FEP-CLO) en  son siège à Tokoin Solidarité, Lomé.

 

Le Ministère en charge de la promotion de la consommation locale et sa délégation ont été accueillis ce  matin dans une ambiance cordiale, teintée de couleurs traditionnelles. FEP-CLO a saisi l'occasion pour présenter son initiative, la toute nouvelle,  « Troc des produits du terroir », un concept africain très ancien et qui permet de faire des achats sans nécessairement disposer de l'argent. L'objectif est faire consommer nos produits du terroir en stimulant le premier achat.

 

Le Ministre Adedzé n'a pas caché sa joie et sa toute sa satisfaction au vu de ce retour aux pratiques ancestrales qui marquaient la civilisation africaine. Il a dit toute sa disponibilité et celle de son ministère à accompagner la Coopérative. 


«Toutes nos portes vous sont grandement ouvertes. Nous sommes prêts à accompagner les initiatives de votre fédération,  qui rentrent directement dans le cadre de nos objectifs pour la réussite de la promotion de la consommation locale au Togo. Nous constatons que   les togolais sont déterminés à produire de bonnes choses aussi bien dans l'agroalimentaire et l'agro-cosmétique, que dans l'artisanat. Nous avons le devoir de les pousser loin  pour créer de la richesse intérieure », a indiqué le ministre.

 


Pour la Présidente de la FEP-CLO, Ouro-Agoro Azia Amina, c'est une joie immense pour cette considération à l'égard de la coopérative.  Occasion  pour elle de rappeler que l’objectif principal de son regroupement est la  promotions et distribution des produits du terroir dans une vision de synergie.

Rappelons que bien d’autres invités tels que le représentant du ministère de l'agriculture, les chefs traditionnels et autres personnalités ont pris part à cette rencontre.

 

Autres lieux visités par d’autres équipes, avec à sa tête Talime ABE, Secrétaire Général du ministère

 

De Made in Togo à la vitrine Nadiaka passant par Natu thé kinkeliba et Awep Foodies, les échanges étaient cordiales, mais sincères avec plus d’invitation à une réelle stratégie de promotion de la consommation locale et de plus de mesures pour la durabilité des entreprises.


Partout, les producteurs ont soumis leurs doléances. Ils demandent à l’Etat d’établir un véritable partenariat public privé, de mettant des moyens à leur disposition, mette des mécanismes en place pour réduire les coûts desdits produits.

Des recommandations qui sont tombées dans de bonnes oreilles selon les autorités

« Ces visites sont une démarche pour soutenir ces belles initiatives mises en œuvre pour la promotion de nos biens et services. La vision du gouvernement c’est de faire des champions sur le marché international. Et nous y veillerons. Des cadres de concertation seront organisés et une forte communication sera enclenchée pour que chacun puisse partir gagnant », a indiqué Talime ABE, SG du Ministère du commerce, de l’industrie et de la consommation locale.

10 octobre 2020

Togo : Avec la garantie de financement du Faiej, c'est 5 500 emplois créés et 3 milliards FCFA de crédits accordés de 2012 à 2019

 


La garantie de financement du FAIEJ a été lancée en octobre 2013 pour offrir un accompagnement financier aux jeunes dans l’établissement et le démarrage de leurs projets. Il représente pour eux une bouée de sauvetage face aux difficultés de financements classiques qui exigent des garanties réelles et un apport élevé en fonds propres. 

C’est un système de prêt qui finance à hauteur de 95% le coût total du projet avec un plafond limité à 2 500 000 francs CFA. Dans le cas d’une association de promoteurs, le plafond est fixé à 6 000 000. Le taux applicable est de 4,5% avec un différé maximum de 06 mois, selon la nature de l’activité, sur une durée maximale de 36 mois. Le jeune promoteur ne rembourse que les intérêts du différé et évite une grosse charge financière. Au même moment, une épargne d’un taux de 1,5% du montant des investissements est réservée sur le compte du bénéficiaire pour renforcer ses capacités.

Toutes ces facilitations ont permis au Faiej de créer près de 5 500 emplois de 2012 à 2019 avec un total de crédits de plus de 03 milliards de francs CFA accordés.

08 octobre 2020

Togo : Bénéficiaires et modalités d’accès à la garantie de financement du Faeij

 


Comme les autres services du Faiej, la garantie de financement est destinée aux jeunes promoteurs d’entreprise âgés de 18 à 35 ans.

Elle permet d’accompagner la croissance de la Micro et petite entreprise (MPE) en vue de minorer le risque crédit pour une pérennité de la MPE naissante.

S’agissant des modalités, il faut avoir bénéficié ou non d’un appui financier d’un des projets ou programmes du ministère du Développement à la base, de l’Artisanat et de la Jeunesse ; apporter une garantie financière personnelle ; faire une demande de garantie de financement auprès du Faiej.

07 octobre 2020

Togo : A la découverte de la garantie de financement du Faiej

 


Dans sa lutte perpétuelle contre le chômage et la pauvreté, le gouvernement togolais a mis en marche, depuis octobre 2012, le Fonds d’appui aux initiatives économiques des jeunes (Faiej). L’objectif qui sous-tend la création d’une telle institution est de faciliter aux jeunes entrepreneurs l’accès aux sources de financement.

Partant de ce principe, le Faiej met à disposition de la cible susmentionnée, des offres de services non financiers notamment la formation, le renforcement des capacités, le suivi-évaluation ainsi que des offres de services financiers comme le Crédit jeune entrepreneur (CJE) et la garantie de financement. En quoi consiste cette dernière ?

Le Fonds d’appui aux initiatives économiques des jeunes (Faiej) finance des projets de tous les secteurs d’activités, principalement le secteur agricole, la transformation agro-alimentaire, la production céréalière, les secteurs de l’artisanat, des technologies de l’information, de la communication et des énergies renouvelables.

27 septembre 2020

Togo / Création des écoles entrepreneuriales : les actions déjà menées


Les 117 écoles entrepreneuriales, à créer dans les communes auront pour mission de former les jeunes agri-preneurs dans les domaines de production, transformation, commercialisation, prestation de services (mécanisation, irrigation) et d’autres activités connexes.

Des actions sont déjà en train d’être menées pour la mise en œuvre de ce projet. Il s’agit de l’identification des infrastructures mobilisables et des sites pour l’implantation des centres de formation, la conception des ressources pédagogiques indispensables à l’incubation et à l’insertion des jeunes agri- preneurs, la sélection et la formation des encadreurs des centres ainsi que des mentors des apprenants aux modalités et processus d’incubation et de mentorat/coaching Yolim. 

Togo / « Jeudi j’ose » : comment ça fonctionnement et quelle est son utilité?

 


« Jeudi j’ose » offre aux jeunes togolais des techniques nécessaires pour la création d’une entreprise. C’est une plateforme d’informations et d’échanges sur l’entrepreneuriat qui a été lancée en novembre 2015.

Elle est opérationnelle dans toutes les régions du pays. Chaque deuxième jeudi du mois, une journée portes ouvertes est organisée et au cours de laquelle des professionnels répondent aux préoccupations des jeunes ; c’est également un cadre d’informations sur la spécificité du métier choisi.

L’initiative est née d’un constat : les jeunes ignorent l’existence des mécanismes et des opportunités d’entrepreneuriat mises en place par le gouvernement. Par conséquent, ces jeunes qui s’engagent dans le secteur ont véritablement besoin d’informations, d’outils indispensables, de notions, de conseils, d’expériences pour surmonter les difficultés qui pourraient se dresser sur leur chemin et aller de l’avant dans leur parcours entrepreneurial.

26 septembre 2020

Togo : Des milliers de jeunes déjà touchés par la plate-forme « Jeudi j’ose »

 


« Jeudi j’ose » offre aux jeunes togolais des techniques nécessaires pour la création d’une entreprise. C’est une plateforme d’informations et d’échanges sur l’entrepreneuriat qui a été lancée en novembre 2015. Elle est opérationnelle dans toutes les régions du pays.

En octobre 2018, soit 03 ans après le lancement de la première édition de « Jeudi j’ose », les statistiques établies faisaient état de plus de 4 000 jeunes touchés sur l’étendue du territoire. 

Par le biais de la plateforme, ces jeunes citoyens férus de l’entrepreneuriat, ont acquis la motivation, les informations et les conseils nécessaires pour susciter en eux la vocation entrepreneuriale et leur permettre d’aider à résorber le chômage. 

L’un des objectifs des pouvoirs publics est d’atteindre 20 000 jeunes grâce à la plateforme.

25 septembre 2020

Togo : Le Paeij-SP désigné comme "succes story" par la BAD

 


Depuis la création du Projet d’appui à l’employabilité et à l’insertion des jeunes dans les secteurs porteurs (Paeij-SP) jusqu’en juin 2019, 3,2 milliards de francs CFA ont été octroyés aux jeunes entrepreneurs nationaux, sur une prévision de 5,3 milliards (jusqu’en 2020), soit un taux de réalisation de 61,01%.
 

Au même moment, 420 jeunes ont été formés et insérés dans les chaînes de valeurs agricoles et clusters agro-industriels, sur 1200 initialement prévus. 16 PME et 774 jeunes de ces chaînes et clusters ont été financés. Dans le courant de l’année 2020, 5 650 primo-entrepreneurs ont été accompagnés dans la réalisation de leurs projets d'entrepreneuriat agricole.

Le projet qui initialement, avait une durée de 05 ans, a été récemment prorogé d’une année et désigné comme un "succes story" par la Banque africaine de développement (Bad). A tous égards, il a renforcé l’employabilité des jeunes citoyens et continue de consolider le développement national.

24 septembre 2020

Togo : Le Faiej au cœur de l’auto-employabilité des jeunes

 


Le Fonds d’appui aux initiatives économiques des jeunes (Faiej) apporte sa contribution au Plan national de développement qui vise à faire du Togo, une plateforme économique par excellence dans la sous-région.

En 2019, il a permis de créer près de 5000 emplois; de sensibiliser 106 067 jeunes.12 450 d’entre eux se sont inscrits et 17 248 ont été formés.2 849 projets ont été financés ; 5 424 crédits ont été octroyés pour un montant de 3,05 milliards de francs CFA. 

Ces efforts ajoutés à d’autres actions mises en œuvre pour la même finalité, ont boosté la création d’entreprises au Togo. 

Pour justification,6 063 entreprises ont vu le jour au cours des 06 premiers mois de l’année 2020. En 2019, 11 000 entreprises ont été créées. Un an plus tôt, le pays avait enregistré 10 545 nouvelles créations d’entreprise. 

Aujourd’hui, se fiant au classement Doing Business 2020, le Togo est le 15ème pays mondial en matière de facilité accordée pour la création d’entreprise.

Mois d’Octobre 2020 : Les Togolais vont consommer local

 


Les togolais sont appelés à acheter et consommer les produits du terroir les 31 jours d’octobre 2020. C’est à la faveur de la célébration de la 1ère édition du « Mois de la consommation  locale » au Togo, dont le lancement officiel est prévu le 30 septembre prochain à Lomé.

C’est le ministre en charge du Commerce, de l’industrie, du développement du secteur privé et de la promotion de la consommation locale, Kodjo Adedze qui a annoncé le mercredi 23 septembre dernier, la tenue d’un tel évènement inédit dans notre pays. Il va durer  tout le mois d’octobre.

Le ministre Kodjo ADEDZE a rencontré mardi 22 septembre 2020 dans la grande salle de conférence de la SAZOF, les responsables de supermarchés dans le cadre des préparatifs de la première édition du MOIS DU CONSOMMER LOCAL.

Le but de cette rencontre est de sensibiliser  les responsables de ce secteur d’activité à valoriser les produits locaux afin d’encourager les jeunes entrepreneurs togolais.

« En consommant local, on fait vivre sa communauté », a martelé le ministre.

Par ailleurs, le ministre a insisté sur le respect strict des mesures barrières dans le cadre de la riposte contre la pandémie du covid-19.

A travers cette initiative, le gouvernement susciter l’envie et l’intérêt des populations togolaises pour l’utilisation des produits locaux. C’est aussi  une grande vitrine pour les entrepreneurs locaux de mettre en lumière leur savoir-faire, d’élargir leur carnet d’adresse, à terme d’accroitre leur productivité pour pérenniser leur activités et créer de l’emploi.

Au Togo, la première édition du « Mois du consommer local » sera marquées par des émissions spécialisées sur les médias, la création d’un cadre organisationnel entre les producteurs et transformateurs des produits locaux et les supermarchés ; l’organisation des caravanes de sensibilisation à Lomé et dans les chefs-lieux de régions du pays. Pour clôturer en beauté cette manifestation foraine,  il est prévu une journée porte-ouverte, exposition suivie de dégustation des mets locaux à  l’apothéose.

Les  acteurs du secteur privé, du public, de la société civile, des universitaires et des partenaires techniques et financiers et des diplomates seront de la partie.

Il faut souligner que l’événement s’inscrit dans la droite ligne de la rencontre des ministres en charge du commerce de l’espace UEMOA tenue le 25 octobre 2019 à Ouagadougou. Au cours de cette rencontre, ces ministres ont décidé de consacrer le 10ème  mois de l’année (octobre), à la consommation des produits du terroir.