Dr Ekue Gada à l'extrême gauche |
A l'issue de cette conférence-bilan, il se dégage que la motivation de cette réforme constitutionnelle réside dans l’ambition du pays de renforcer davantage les droits et devoirs des citoyens, la protection des droits et libertés, les mécanismes de contrôle démocratique.
« Il faut avoir le courage de faire des expériences d’autant que la question du passage à une 5è République n’est pas nouvelle. On l’avait soulevé en 2017 et cela ne devrait pas être une question secrète, ni occulte, ni mystérieux », a indiqué Dr Ekue Gada.
Pour Me Gil-Benoît Afangbedji, il ne faut pas douter des avantages de la direction du régime parlementaire que prend la nouvelle ossature constitutionnelle de notre nation. "Le régime parlementaire offre plusieurs avantages. Ça donne l’occasion de ne plus avoir un président à vie et de permettre à plusieurs personnes d’en faire l’expérience. C’est juste une question de forme qui se pose au niveau de la nouvelle constitution. C’est pourquoi nous félicitons le chef de l’Etat d’avoir ouvert des consultations sur la question>> a-t-il indiqué.
Les autres acteurs de la plateforme partagent les mêmes conviction.
Selon président de IDEE ( Initiative Droit Elections et Engagements), SAMA BAHIBADI, l’une des associations de la société civile composant la plateforme (organisateurs de cette table ronde), il s’agit de prendre sa pleine part dans le débat public actuel et d’assumer sa responsabilité citoyenne, que la Plateforme de la société civile pour la bonne gouvernance et la transparence démocratique (PSC-BGTD) a initié cette table ronde qui a permis aux participants de s’exprimer et de donner leur avis sur le changement en cours dans notre pays, à travers des exposés des spécialistes.
Aucun commentaire
Enregistrer un commentaire