Radio Oreole Flash Info :
latest

728x90

468x60

Affichage des articles dont le libellé est REVUE. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est REVUE. Afficher tous les articles

13 juin 2018

Togo : Revue du web du 13 juin 2018


La récente sortie de la cour constitutionnelle fait réagi plus d’un, la presse en ligne togolaise en parle également.
 
ICI LOME « Mme Brigitte Adjamagbo-Johnson : « La Cour constitutionnelle sert les intérêts d’un homme ».

La réaction de la Coalition des 14 partis de l’opposition, dans la rue pour la révision du cadre électoral avant l’organisation de toute élection entre autres, ne s’est pas fait attendre à la suite de la publication du communiqué de la Cour constitutionnelle qui a appelé le gouvernement et la CENI à organiser les législatives dans le délai.

« La Cour constitutionnelle vient de donner la preuve qu’il faut déverrouiller les institutions de la République », a indiqué, à notre Rédaction, la Coordinatrice de la Coalition, Mme Brigitte Kafui Adjamagbo-Johnson. Pour cette dernière, il est dommage que la Cour prenne cette position au moment où la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) est dans un processus pour sortir le Togo de cette crise.

24 HEURE INFO met à sa une « Togo : Le député François Kampatibe donne raison à la Cour Constitutionnelle »

Le communiqué de la Cour Constitutionnelle est  juste  un rappel. Lorsque les délais constitutionnels sont forclos et  il n’y a pas eu d’élections,  la Cour a  la latitude de dire quelque chose, ce qu’elle a fait.

Interrogé ce mercredi 13 juin par Nana Fm sur le communiqué de la Cour constitutionnelle relatif à l’organisation des élections législatives dans les délais légaux, le député François Kampatibe, et conseiller du président du parti ADDI (Opposition), estime que ‘l’institution est dans son rôle’.
‘La Cour Constitutionnelle fait son travail. Aux autres institutions, au gouvernement et à la classe politique de faire leur part aussi’, a-t-il indiqué avant de précisé qu’en 2012, ‘lorsqu’il s’agissait aussi d’un retard, la Cour constitutionnelle avait fait la même.

Comme l'a annoncé le chef de l'État, Faure Gnassingbé deux fois de suite (dans l'interview accordée à Jeune Afrique et dans son discours à la nation à l’occasion de la célébration de la fête de l’indépendance), les togolais seront appelés aux urnes cette année dans le cadre des élections. S'agissant des législatives, les choses se précisent. La cour constitutionnelle met déjà la pression sur le gouvernement et la CENI pour qu'ils organisent ce scrutin avant fin 2018.

GAPOLA : « LA COUR CONSTITUTIONNELLES RÉCLAMENT LES ÉLECTIONS LÉGISLATIVES AVANT FIN 2018 »

C'est à travers un communiqué lu dans le journal de la télévision togolaise que l'information a été rendue publique.

"Le mandat des députés actuels ayant débuté le 20 août 2013, il prend fin le 19 août 2018. Par conséquent, les élections doivent avoir lieu dans la période du 20 juillet au 19 août 2018", indique le communiqué de la cour signé par son président Abdou Assouma. 

Par conséquent, la plus haute institution juridique du Togo annonce aux  candidats placés en tête de liste que conformément aux dispositions de l’article 221 du code électoral, qu'ils doivent déposer auprès de la CENI, une déclaration de candidature 35 jours au plus tard avant le scrutin.

GLOBAL ACTU : « Les insuffisances dont souffre la sortie de la Cour constitutionnelle, selon un député »

La coalition des 14 partis politiques de l’opposition ne semble pas être inquiétée par l’injonction faite ce mardi par voie de communiqué par la Cour constitutionnelle au gouvernement  et à la Commission électorale nationale indépendante (CENI).

A la coalition des 14, on pense que par cet appel lancé par la cour de voir les élections législatives organisées avant le 19 août prochain, les 9 juges sont en train de jouer le rôle qui leur est dévolu. Ce qui est regrettable, a lancé ce mercredi Dr Nangbadja Kampatibe, conseiller du président de l’Alliance des démocrates pour le développement intégral (ADDI), c’est que la Cour constitutionnelle n’a pas su jouer pleinement son rôle.

Selon le député, la cour, juge de la constitutionnalité des lois, aurait dû aller plus loin en rappelant un élément important : l’article 52 de la constitution qui dispose que l’Assemblée nationale reste en place jusqu’à l’élection d’une nouvelle.

Autre chose reprochée à Aboudou Assouma et ses 8 collègues, c’est le fait de ne pas avoir fait cas ou de s’impliquer dans la crise politique qui secoue le Togo depuis le 19 août 2017, alors que c’est cette crise qui empêche le Togo d’aller aux élections.

07 juin 2018

Togo : Revue de web 06 juin 2018.


La Revue de Web de ce jeudi 06 juin 2018 est essentiellement consacrée aux trois jours de manifestations de rues de l’opposition togolaise et à l’appel à un Togo mort la semaine prochaine

ICI LOME - Ouro Tchatikpi: « Payadowa Boukpessi n’a pas ce droit d’imposer des itinéraires »

Pourquoi la Coalition ne veut pas respecter les itinéraires imposés par le ministre Payadowa Boukpessi ? Hier lors de la conférence presse tenue au siège de la CDPA, cette question a été posée aux responsables de la Coalition des 14. Selon Ouro Tchatikpi, Conseiller de Tikpi Atchadam (président du Parti National Panafricain), le ministre en charge de l’Administration territoriale, conformément à la loi du 16 mai 2011, n'a aucun droit d'imposer des itinéraires aux organisateurs des manifestations publiques. Suivez son argumentation.

Brigitte Adjamagbo Johnson : « La Coalition des 14 reconduit son mot d'ordre de manifestations … »

En conférence de presse hier à Lomé, les responsables de la Coalition ont dressé le bilan de la première journée des manifestations de cette semaine. Selon eux, les manifestations se poursuivent aujourd'hui et demain comme prévu.

GLOBAL ACTU met à sa une : « La coalition des 14 appelle les Togolais à observer un  ‘Togo mort’ lundi prochain ».

Pas de manifestation dans les rues de Lomé ce mercredi, premier des 3 jours que la coalition des 14 partis politiques de l’opposition compte mettre à contribution pour faire pression sur le pouvoir de Lomé 2.

Les points de départ et de chute prévus par la coalition des 14 pour ces manifestations ont été bouclés par les forces de l’ordre depuis le matin. Au cours d’un point de presse donné cet après-midi, les responsables de la coalition des 14 ont vivement condamné une ‘violation du droit de manifester’ des Togolais.

Tout en maintenant les marches du jeudi 7 et samedi 9 juin prochains, Jean-Pierre Fabre, le chef de file de l’opposition, Brigitte Adjamagbo Johnson, la coordinatrice de la coalition des 14 et Our-Djikpa Tchatikpi du Parti national panafricain (PNP) ont invité les Togolais à observer un ‘Togo mort’ le lundi 18 juin, journée au cours de laquelle personne ne doit vaquer à aucune activité.

GAPOLA revient également sur le sujet et titre : « VU L’ÉCHEC DES MARCHES, LA C14 APPELLE A UNE JOURNÉE "TOGO MORT" »

La coalition des 14 partis de l'opposition change sa stratégie de pression sur le régime de Faure Gnassingbé. Après la mobilisation de proximité et les appels à manifestations de rue soldés par des échecs, elle appelle à une journée "Togo mort" le lundi 18 juin prochain.

Sans surprise, la manifestation de rue de  ce mercredi a été soldée par l'échec. Difficile de voir les manifestants qui ont laissé leurs places aux forces de l'ordre et de sécurité. Pas de moindre attroupement ni aux points de rassemblement indiqués par le gouvernement, ni ceux voulus par la coalition.

Face à cette démobilisation de plus  en plus récurrente, la C14 loin de baisser les bras, reste dans sa logique de faire chuter Faure Gnassingbé du pouvoir par la pression populaire. Tout en maintenant les marches prévues pour jeudi et samedi, la coalition invite déjà les togolais à observer une journée "Togo mort"  le lundi 18 juin prochain.

« Itinéraire des marches : Les manifestants divisés au sujet du choix des leaders de la C 14 » indique la VOIX DE LA NATION

Depuis un temps, l’opposition peine à manifester suivant ses propres itinéraires. Les tentatives se sont soldées par un échec avec dans certains cas, des courses poursuites et autres affrontements entre manifestants et forces de l’ordre.

Ce mercredi à Lomé, premier jour de la marche de la coalition des 14 partis de l’opposition pour le compte de cette semaine, il n’y a pas eu de manifestations comme prévu. Tôt le matin, les points de départ sont bouclés par les forces de l’ordre et de sécurité. Aucun rassemblement n’est autorisé à ces endroits.

04 juin 2018

Togo - Revue de web du 04 juin 2018


L’actualité sur le web au Togo est essentiellement  marquée ce lundi 04 juin 2018 par la grève des enseignants chercheurs à l’Université de Lomé, le jubilé d’or du CAMES, la crise sociopolitique et les manifestations de l’opposition.

La grève des enseignants chercheurs à l’Université de Lomé.
Sur le sujet Global Actu écrit : « UL : Le SNES du Pr Batchana ne trouve pas de raison d’aller en grève »

Le Syndicat national des enseignants du supérieur (SNES) se désolidarise du mot d’ordre de grève de 6 jours qui plane sur l’Université de Lomé (UL) à partir de ce lundi. Selon Pr Esohanam Batchana, secrétaire général du SNES, ceux qui appellent à cette grève ne respectent pas les textes en vigueur.

Tout en reconnaissant que l’article 39 de la Constitution garantit la liberté de grève à chaque travailleur,  le responsable syndical a estimé que selon le statut de la fonction publique et les textes qui régissent les universités, ne peut appeler à une grève qu’une organisation syndicale légalement constituée. En l’espèce, ce n’est pas le cas, selon lui.

Sur le même sujet GAPOLA met à sa une : « GRÈVE DES ENSEIGNANTS-CHERCHEURS : LE PROF KOKOROKO RASSUR »

Un groupe d’enseignants-chercheurs de l’Université de Lomé et de Kara entame une grève de 6 jours,  depuis ce lundi pour réclamer de meilleures conditions de vie et de travail. Le professeur Dodzi Kokoroko (Photo), président de l'Université de Lomé ayant appris l'information, prend la mesure de la situation  en demandant à ses collègues de garder patience vu que le gouvernement est à l'œuvre pour les satisfaire.

Ce groupe d'enseignants-chercheurs en grève dès ce lundi, réclame en effet la prise en compte des augmentations de salaires obtenues en 2011 et plusieurs autres revendications.
Pour le Prof Dodzi Kokoroko, ces revendications sont déjà prises en compte par le gouvernement. Il a également indiqué, dans entretien avec Togo Breaking News, qu’un accord a été trouvé entre les syndicats d’enseignants de l’université (SEST et SNES) et le gouvernement sur la question des augmentations salariales obtenues en 2011.

La crise sociopolitique au Togo continue son bonhomme de périple avec les appels à manifestions de l’opposition et la réaction du pouvoir en place.

GAOPLA révèle : « LE MINISTRE PAYADOWA BOUKPESSI À L'ŒUVRE POUR ÉTOUFFER LES MANIFESTATIONS DE LA C14 DANS L'ŒUF ».

Les manifestations de rue annoncées par la coalition des 14 partis de l'opposition, sans surprise divise déjà les organisateurs et le pouvoir qui met déjà les bouchés doubles pour les étouffer dans l'œuf. Et pour cause le ministre de l'administration territoriale, Payadowa Boukpessi (Photo) décide de circonscrire de nouveau  les manifestations dans le quartier de Bè.

… Comme lors des deux dernières manifestations convoquées par la C14 en avril, celles-ci aussi risque d'être étouffées dans l'œuf.  Des signes précurseurs se font déjà voir.
Le gouvernement, par l'entremise du ministre de l'administration, à défaut d'interdire les manifestations, les renvoie dans le quartier de Bè à Lomé. Une décision à laquelle s'opposait déjà la C14.

Quant à GLOBAL ACTU, « Atchadam incite les responsables religieux et les OSC à appeler aux prochaines manifestations »

Le leader du Parti national panafricain (PNP), Tikpi Atchadam souhaite que les marches des 6, 7 et 9 juin prochains organisées par la coalition des 14 partis politiques de l’opposition soient celles qui connaîtront le record des mobilisations. A ces marches, lance-t-il, le ‘peuple en lutte’ doit imposer au pouvoir de Faure Gnassingbé un défi : celui qui consiste à arrêter un ‘mouvement océanique’.

Pour arriver à cette mobilisation record, M. Atchadam a tracé la voie. Il demande aux responsables de la société civile dans son ensemble, aux syndicats des transporteurs, au monde de la culture et du sport, aux responsables religieux et à tout leader d’opinion d’appeler clairement ceux qu’ils ont à leur charge à la marche.

Le CAMES EN JUBILE D’OR
TOGO PRESSE « Le chef de l’Etat a assisté a la clôture du jubile d’or du CAMES à Ouagadougou

Le presse officielle de la République du Togo écrit « Le Président de la République Faure Essozimna Gnassingbé, a assisté le vendredi dernier à Ouagadougou, au Burkina-Faso, à la cérémonie de clôture de la 35ème session du Conseil des ministres et du Jubilé d’or du CAMES au Complexe du Centre Internationale de Conférence Ouaga 2000, dans la capitale Burkinabè. »