La crise politique togolaise n'en fini pas de susciter des rebondissements. La toile quant à elle, est toujours disposée à faire le relais.
ICI LOME -Brigitte Adjamagbo-Johnson : « Le peuple togolais a raison de vouloir en finir avec ce régime »
Dans
une interview accordée à notre Rédaction du site, la Coordinatrice de la
Coalition des 14 partis de l'opposition est revenue sur les derniers
développements de l'actualité politique, notamment les discussions qui
ont lieu le mercredi 27 juin dernier à Lomé, en présence des
facilitateurs Alpha Conde de la Guinée et Nana Akufo-Addo du Ghana. Pour
Mme Brigitte Adjamagbo-Johnson, « le monde entier verra la mauvaise foi
de ce régime, et le monde entier comprendra que le peuple togolais a
raison de vouloir en finir avec cette gouvernance qui est une
gouvernance basée sur le mensonge, la ruse, le subterfuge ».
REPUBLIC OF TOGO est revenu sur la réaction d'Alpha Kondé sur RFI "On ne peut pas repousser les élections ad vitam aeternam"
Le président guinéen Alpha Condé, qui est l’un des deux médiateurs
chargés par la Cédéao de tenter de trouver une solution à la crise
politique togolaise, était l’invité de RFI mardi.
Le site GAPOLA met en exergue la récente sortie des organisations de la société civile - CRISE
TOGOLAISE : DES OSC INTERPELLENT LES FACILITATEURS : "TOUTES MARCHES
FUTURES RISQUENT DE PROVOQUER UNE COLÈRE INSOUPÇONNÉE DES POPULATIONS
CONTRE LES ÉVENTUELS ORGANISATEURS QUI NE SE SOUCIENT GUÈRE DE NOS
DIFFICULTÉS QUOTIDIENNES"
Dans un courrier en date du 3 juillet 2018, adressé au Ministre de
l’Administration territoriale, de la Décentralisation et des Collectivités
locales, le Collectif des Organisations de la Société Civile (OSC) pour une
Diplomatie Non Gouvernementale (DNG), avec à sa tête le Collectif des Jeunes
pour le Développement (CJD) a interpellé le Gouvernement et les facilitateurs
sur les risques d’aggravation de la situation par ses manifestations annoncées
par la C14.
Ces organisations font observer
que si on ne prend pas garde, l’on risque de retomber dans les mêmes scénari
que le Togo a connus il y a de cela quelques mois. Ce qui fera du secteur privé du Togo une
victime de plus. « La plupart d’entre nous, opérateurs
économiques, sommes tous endettés et nous n’honorons que difficilement nos
engagement vis-à-vis de l’Etat, de nos partenaires, de nos personnels et de nos
familles.
La même situation se fait sentir au niveau des
revendeuses et de l’ensemble des ouvriers qui ne vivent quotidiennement que
grâce à leurs revenus», s’indigne le
Collectif.
Autre son de cloche dans le rang du Front Citoyen Togo Débout (FCTD)
GLOBAL ACTU fait part de la méfiance de cette organisation vis-à-vis de la CEDEAO, " Togo debout’ met en garde la CEDEAO contre toute décision injuste "
En conférence de presse ce mercredi à Lomé, l’organisation de la société civile a fait clairement savoir que le peuple togolais n’acceptera plus de décisions ‘injustes’ résultant d’une mauvaise appréciation de la crise.
Aucun compromis ne se fera plus sur le dos du peuple togolais, préviennent les responsables de ce regroupement de syndicats, d’organisations de défense des droits de l’homme et d’éveil citoyen.
« Aucune élection ne sera crédible sans les réformes : réforme du cadre électoral, du code électoral et aussi la révision du fichier électoral, du découpage électoral, de la composition de la CENI et de la Cour Constitutionnelle », propose le FCTD.
Autre son de cloche dans le rang du Front Citoyen Togo Débout (FCTD)
GLOBAL ACTU fait part de la méfiance de cette organisation vis-à-vis de la CEDEAO, " Togo debout’ met en garde la CEDEAO contre toute décision injuste "
En conférence de presse ce mercredi à Lomé, l’organisation de la société civile a fait clairement savoir que le peuple togolais n’acceptera plus de décisions ‘injustes’ résultant d’une mauvaise appréciation de la crise.
Aucun compromis ne se fera plus sur le dos du peuple togolais, préviennent les responsables de ce regroupement de syndicats, d’organisations de défense des droits de l’homme et d’éveil citoyen.
« Aucune élection ne sera crédible sans les réformes : réforme du cadre électoral, du code électoral et aussi la révision du fichier électoral, du découpage électoral, de la composition de la CENI et de la Cour Constitutionnelle », propose le FCTD.
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